D...ésir de flammes...                                     

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Aïïïïe... oups ! Désolée Maître !

 

 

 




- C contact

 

 

 

 

Je quittais tard, le bureau ce soir là, la journée avait été longue et fatiguante. Malgré l'heure tardive, cette nuit d'été s'annonçait chaude, presque étouffante. Elle avait occupé toutes mes pensées, cette journée-là comme toutes les autres. Elle, objet de tous mes désirs, Elle avec qui je partage ces plaisirs interdits que la morale réprouve. Je décidais de lui rendre visite, à l'improviste, et de passer la soirée en sa compagnie. Malgré la distance, le trajet me sembla rapide tant mes pensées étaient accaparées par le déroulement des moments à venir. Les souvenirs de nos précédentes soirées remontaient à la surface, des images, des lieux, des situations me revenaient à l'esprit. La chaleur me parut plus étouffante encore, le désir et l'envie montaient en moi.

Mon esprit s'embrouillait, sans trop savoir comment, par automatisme, j'étais arrivé à destination, je me trouvais devant sa porte.

Je pressais fermement sur la sonnette. Je perçu une certaine agitation derrière la porte, puis un halo de lumière parut à travers l'œilleton et disparut aussitôt. Les clefs tournèrent dans la serrure, la porte s'ouvrit et Elle se tenait dans l'encablure. 

- "Bonsoir Monsieur, je suis confuse j'ignorais votre venue, je ne suis pas apprêtée..."

- "Bonsoir chère Soumise. Tu ne me laisse pas entrer ?"

- "Si, bien sur Monsieur, mais...."

- "Tout va bien, sers moi un verre et vas donc te faire belle", lui dis-je fermement

- "Bien Monsieur" me répondit-elle, comme soulagée.

Ma main agrippa sa chevelure abondante et entraina ses lèvres à la rencontre des miennes. Offerte, sa langue vint à la rencontre de la mienne. Je sentais son désir monter et décidais de stopper là. Diriger, contrôler son désir et son plaisir contribuait à mon excitation. J'aimais parfois la frustre pour mieux la libérer par la suite. J'entrais dans l'appartement et refermais la porte derrière moi puis m'installais dans ce fauteuil baroque qui me plaisait tant. J'appréciais son charme et son confort. Elle me tendit mon breuvage, un whisky ancien, sans glace, Elle connaissait mes désirs et prenait plaisir à me servir. Elle disparut quelques minutes qui me parurent une éternité tant mon désir était devenu intense. Je brulais d'envie de la découvrir devant moi, offerte....

- "J'espère que cela vous plaira Monsieur"

Trônant sur de hauts talons rouges, Elle avait revêtu un ensemble de fine dentelle noire, recouverte d’un voilage noir transparent. Je pris quelques instants pour me délecter de sa poitrine généreuse, cherchant à deviner ses tétons fièrement dressés par le désir à travers son soutien-gorge. Mon regard se posa ensuite sur sa culotte, cherchant à deviner la fente de son sexe qu'elle rasait en signe d'appartenance.

- "Tu es parfaite Soumise"

Posant mon verre sur la table basse, je me dirigeais vers Elle, sortant de la poche de mon costume deux foulards que j'avais délicatement pliés en prévision de ma venue. Sans un mot, je recouvris ses yeux en nouant un premier foulard autour de son visage. Je la sentis frémir d'appréhension. Fière et confiante en moi, Elle n'en dit rien. Je me saisis alors de ses bras et les entrainais dans son dos, les nouant fermement à l'aide du deuxième foulard. Le nœud était serré, un petit cri lui échappa, je décidais néanmoins de ne pas le desserrer. Elle appréciait d'être ainsi contrainte et soumise au désir de son Maître.

La retenant fermement, je la dirigeais alors vers une position qui me plaisait particulièrement: à genoux sur le sol, la tête penchée en avant, la visage reposant sur un coussin que j'avais disposé sur le parquet, la croupe rebondie. Obéissante et bien éduquée, Elle se laissa guider sans résister. J’admirais quelques instants le spectacle délicieux de son corps offert, cambré vers l'avant. Sans un mot, je me dirigeais vers la chambre, m'emparant de la haute bougie trônant sur la table de nuit. Je pris également la longue cravache que j'avais pour habitude de ranger dans l'armoire, cachée derrière des piles de vêtements. De retour dans le salon, j'allumais la bougie et la posais sur la table basse. Sans un mot, je retirais son voilage noir et baissait fermement sa culotte le long de ses cuisses. Un cri de surprise lui échappa, Elle s'en excusa. Je libérais alors ses seins lourds en abaissant les bonnets de son soutien-gorge. J'adorais la voir ainsi, à demi-vêtue, à demi-nue... Regagnant mon fauteuil et me saisissant de mon breuvage, je lui ordonnais: 

- "Ecarte les cuisses Soumise et cambre toi bien en avant"

- "Oui Monsieur" 

Un incroyable spectacle s'offrit à moi. Mes yeux se posèrent sur son sexe, je regardais longuement cet abricot lisse, délicieusement fendu, ses lèvres bien dessinées accrochaient mon regard et le conduisaient d'un côté vers son bouton de plaisir et de l'autre vers son antre que je savais être bien humide. Elle aimait prendre ces postures gênantes, humiliantes pour satisfaire mon regard. Mes perversions l'excitaient au plus haut point. Dégustant lentement mon whisky, mon regard s'attarda longuement sur ses seins généreux et fermes qui pendaient lourdement par dessus son soutien-gorge finement dentellé, sur ses tétons dressés d'envie, sur ses aréoles bien dessinées... J'avais envie de les prendre en bouche, de les sucer avidement, sans retenue...puis de la pénétrer dans cette position, sans autre forme de préliminaire, sentir mon sexe tendu forcer l'entrée de son vagin étroit...mais je devais me retenir, je devais la surprendre...ne pas lui donner tout de suite ce plaisir que tout son corps réclamait... 

Je lui fis alors quelques commentaires très crus sur sa posture, sur la vision qui s'offrait à moi...sur ce délicieux vagin offert, sur cet anus qui ne lui offrait que peu de plaisir et que je réservais aux punitions...Rougissante, gênée par les mots mais terriblement excitée de les entendre, elle répondait "oui Monsieur" à chacune de mes remarques, réclamant à demi-mot que ce plaisir continue...Poursuivant mes remarques, je m'emparais alors de la cravache et assénais une première correction sur son fessier généreux. Un cri lui échappa. L'extrémité de la cravache s'écrasa de nouveau sur ses monts tendus par l'appréhension des coups. Les yeux bandés, Elle ne savait à quel moment je déciderais de la fesser de nouveau...Son sexe perlait de désir, la correction infligée la faisait mouiller de plus belle...Je décidais de l'interroger pour savoir si elle avait respecté le règlement depuis notre dernière entrevue. 

- "As-tu désobéi Soumise ?" La cravache asséna un nouveau coup sur cette croupe callipyge.

- "Non Monsieur"

- "Dis-moi la vérité Soumise, ne t'ais-tu pas caressée en mon absence ? Tu sais que tu n'as pas le droit sans ma permission."

- "Oui, Monsieur, je le sais, je suis restée pure, je vous le promets Monsieur"

Je donnais alors quatre coups fermes de cravache sur son sexe offert, tout en lui demandant si elle en était sûre. Son clitoris sensible ne supportait pas ce genre de traitement.

- "Je vous le jure Monsieur, je me réserve toujours pour vous" 

Je la croyais, je savais qu'elle m'était fidèle et qu'Elle respectait à la lettre ses engagements, Elle aimait les contraintes que je lui imposais au quotidien, cela renforçait le sentiment qu'elle avait d'être possédée. Je lui signifiais alors que je la croyais, tout en donnant quelques coups légers de cravache sur ces seins sensibles. Elle se mordait les lèvres, acceptant la punition que son Maître lui infligeait. Quel délice d'observer la cravache s'écraser sur ces délicates mamelles lourdement suspendues. 

- "Compte les coups jusqu'à dix Soumise" 

Elle s'exécuta, les coups se mirent à pleuvoir sur son fessier, ce cul généreux, rougissant à vue d'œil. De petits cris lui échappaient, elle aimait ce mélange de douleur et d'humiliation qui la menait à un plaisir cérébral intense. Faire ce que la morale interdit. Se donner, s'offrir, se laisser posséder et dominer. Je décidais de ne pas lui laisser de répit, écartant fermement les lèvres de son intimité, j'y introduisis son ménagement mon majeur jusqu'à la garde. Elle était très humide, trempée de désir. La chaleur m'envahit intérieurement lorsque je sentis ses chairs intimes s'écarter sous la pression de mon doigt. Je doigtais fermement cette délicieuse chatte humide et étroite, à la manière d'un sexe qui l'aurait pénétrée et qui n'aurait d'autre envie que de jouir rapidement. Elle gémissait de plus en plus fort, au rythme des coups de boutoir que lui imposait mon doigt. Elle était terriblement excitée, je savais qu'il lui faudrait très peu de temps pour jouir. Je décidais alors de lui introduire un second doigt dans le vagin. Ils pénétrèrent péniblement, forçant l'étroitesse de son intimité coulante. Je sentais cette chatte s'ouvrir peu à peu, réclamer mes doigts jusqu'au plus profond de son antre. M'emparant de la bougie, je fis couler quelques gouttes de cire chaude sur sa croupe, les doigts toujours en Elle. Elle hurla, non pas de douleur, mais de surprise. Mes doigts se mirent alors à faire des mouvements circulaires en Elle, massant fermement la paroi ventrale de son vagin. Je connaissais ses faiblesses. La doigtant de plus en plus fort, je versais régulièrement la cire coulante sur ses fesses offertes. Elle s'abandonnait entièrement à moi, son Maître, gémissant en continu, cherchant à atteindre l'orgasme qui la libèrerait enfin....Elle se délectait tout comme moi de ce mélange de plaisir et de douleur...

Elle me demanda avec difficulté la permission de jouir.

- "Non, Soumise, retiens-toi, montre moi que tu sais te tenir" lui-répondis-je en la doigtant plus encore

- "Monsieur, pitié, laissez-moi jouiiiiiir" dis-t'elle dans un râle de plaisir

Je ne répondis pas, c'était le signal, elle pouvait se laisser aller, enfin, jouir, se libérer, se laisser emplir par le plaisir. Son vagin devint plus coulant encore, mes doigts étaient trempés et glissaient facilement en elle, son corps trembla dans tous les sens, je la retins fermement de mon autre main pour qu'elle ne s'effondre pas sur le sol. Ses gémissements de plaisir avaient été très intenses, le plaisir avait été au rendez-vous. Tellement intense, qu'elle en frissonnait de tout son corps et ne pouvait plus tolérer mes doigts dans son vagin, tant sa sensibilité était exacerbée...Je me retirais alors délicatement, me délectant de la rougeur vive de ses chairs intimes et du délicat filet de liqueur intime qui entourait mes doigts... 

Ne lui laissant aucun répit, je l'aidais à se redresser et la guidais pour qu'elle se positionne à genoux. Je retirais son bandeau des yeux mais conservais les liens qui lui nouaient les bras dans le dos. Nos regards se croisèrent. J'y lu la satisfaction qu'elle avait eu de jouir de cette manière, humiliée et contrainte, les entrailles irradiées de plaisir par cet orgasme vaginal. Sans un mot, j'ouvris mon pantalon et libérais mon membre turgescent. Saisissant mon sexe à sa base, je lui présentais tout près de son délicieux visage, le gland bien gonflé et brillant de liqueur séminale. La regardant dans les yeux, j'entamais alors une masturbation lente et délicate. Mes bourses bien gonflées de liqueur intime en devenaient presque douloureuses, l'excitation les avaient mise à rude épreuve, je devais les soulager de cette tension. Soutenant toujours mon regard, Elle ouvrit alors la bouche, tendant sa langue en avant, m'offrant cet antre chaud et humide afin que j'en use selon mon bon plaisir. Interrompant mon plaisir solitaire, je fis tapoter mon gland sur sa langue à plusieurs reprises, intensifiant plus encore mon excitation. Offerte, Elle ne pris aucune initiative, Elle savait que j'étais seul à choisir du moment où je m'introduirais. Caressant ses seins lourds d'une main, je fis glisser mon sexe sur ses joues encore rougies de plaisir. Elle ressentait toute la chaleur de cette queue vigoureuse, sa fermeté, ses effluves...Tenant mon sexe par son sommet, je lui présentais alors mes bourses qu'elle s’empressa de venir caresser du bout de sa langue humide, remontant délicatement le long de la hampe de mon pénis. Je me délectais de la voir ainsi, les bras attachés dans le dos, léchant mon sexe avec envie, ne pensant qu'à me satisfaire. L'excitation était trop forte, le moment était venu, je devais libérer ce nectar de mes entrailles. Pressé par le désir, je détachais précipitamment ses liens.

- "Soulage-moi Soumise", lui ordonnais-je autoritairement

- "Oui, Monsieur", répondit-elle, enfournant aussitôt ce dard dans sa cavité buccale. Masturbant mon sexe d'une main, Elle débuta un mouvement de succion au même rythme, accentuant la montée du plaisir. De temps à autre, Elle enfonçait presque jusqu'à la garde ce pieu tendu au fond de sa bouche, manquant de s'étouffer, Elle pratiquait ces gorges-profondes pour mon plaisir. Je sentais la sève monter, retenant mon éjaculation je distrayais mon esprit en jouant avec sa poitrine. Agrippant ses tétons du bout des doigts, je soulevais ses seins et les relâchais brusquement. Je me délectais d'observer ces généreuses mamelles retomber lourdement.

Elle accéléra encore ses vas et viens, tenant plus fermement encore ma queue dans sa main chaude. Nos regards se croisaient, quel délice de la voir ainsi, mon sexe entre ses lèvres, je lisais dans ses yeux le plaisir qu'Elle prenait à me soulager. La chaleur de cette bouche, cette salive toujours plus humide et abondante autour de ma queue, le massage qu'elle exerçait sur mes bourses, les images qui défilaient dans mon esprit, la posture humiliante, son sexe offert, sa punition, ses supplications, son orgasme....je n'en pouvais plus....impossible de résister plus longtemps, je devais éjaculer....je ressentais que le liquide séminal laissait petit à petit place au sperme, je me retirais avant qu'il ne soit trop tard, avant de jouir...le dard luisant de salive, j'agrippais d'une main ferme sa crinière vers l'arrière, m'exposant son visage d'ange...Bien éduquée, Elle ouvrit la bouche et tendit de nouveau sa langue, cette fois-ci pour recevoir le sperme de son Maitre...Je me mis alors à branler frénétiquement mon sexe à quelques centimètre de son visage...Quelques dizaines de vas et viens...et l'éjaculation arriva, une succession de saccades de mon pénis, une explosion de sperme...mes jambes vacillèrent, sous l'intensité du plaisir je ne pus garder les yeux ouverts...je ne saurais dire combien de temps cela dura, mais j'eu la sensation de libérer beaucoup de semence...je la sentais remonter le long de ma verge à chaque saccade...des râles et des gémissements m'échappèrent...Elle massait délicatement du bout des doigts ces couilles enfin libérées de leur tension...Elle savait que j'en étais très friant... Je savourais l'instant puis ouvris les yeux....Sans mot dire, je me délectais du spectacle de ma petite crème répandue sur son visage, ses cheveux, ses seins...Maculée de ma semence, Elle était mienne..Ce spectacle me procura une jouissance cérébrale. le plaisir de posséder...

Puis nos regards se croisèrent, complices, nous comprîmes alors dans le regard l'un de l'autre que la soirée ne faisait que commencer...

 

Monsieur M.

22/08/2011

 

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Par Guts
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