D...ésir de flammes...                                     

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Aïïïïe... oups ! Désolée Maître !

 

 

 




- C contact

 

 

 

 

« Peux-tu me décrire, sans pudeur, mais avec la sensualité qui t’es coutumière, ton corps dans les sens et le ressenti … » Monsieur…

 

Le corps :   

Cette structure vivante, architecture complexe se nourrissant de divers éléments, pleine de personnalité… symbolisme de vie, de santé, de sentiments, de sensations, de plaisirs, de désirs commandés par sa propre nature… sublimation d’une chair qui devient l’envie, l’attouchement, l’excitation, la volupté…  un intense moyen de délices cérébraux, sensuels, sexuels... Et il permet d’être aussi la puissance, la jouissance, quand il est à portée… offert… ouvert et découvert… abandonné à celui qui saura l’utiliser à bon escient… avec respect et sans blessure.   

En sa vérité, il est union avec l’esprit. Il vit en l’esprit et pourtant la chair réagit…quand l’esprit se perd en des délices… et n’a plus de certitude, car il se laisse flotter dans les sensations.

 

Dans les sens : 

 

- La vue : le regard porté sur mon corps et dans sa nudité… vision « d’une beauté » de formes arrondies, pleines, voluptueuses pour certains… un corps aux contours généreux… marbre de chair, d’une peau blanche, laiteuse, fine mais satinée et douce, assurément chaude… elle est accompagnée de tâches de rousseurs chocolatées… Un visage surmonté par une crinière rousse, aux yeux expressifs, tantôt, noisettes, verts, ou gris, voire noirs par la colère… un nez droit et agréable à porter… des lèvres bien dessinées offrant une bouche aux nuances d’orangé avec une langue pointue et bien pendue… un menton un peu avancé… Des épaules fortes et charnues… des bras à la peau de marbre, allongées par de grandes mains aux longs ongles manucurés … un ventre en rondeur, avec un petit nombril en forme de puits et peu de taille… des jambes fermes et musclées aux mollets galbés. Longues, elles aiment que leurs pieds se glissent dans des chaussures à hauts talons… Puis l’intimité… une poitrine lourde de femme naturelle aux seins généreux et aux auréoles mordorées surmontées de gros et longs tétons aux extrémités peu travaillées, mais en attente… de petites lunes joufflues guère callipyges au bas de reins peu cambrés, à la peau si sensible et qui rougit vite, en leur centre, verticalement le sillon fessier décèle un territoire inexploré, une étoile vierge y est posée... de l’autre côté, un ancien triangle de cuivre devenu un mont de Vénus bombé si lisse, adolescent… plongeant à sa base, une intimité ourlée de lèvres, les grandes qui enferment une perle rose capuchonnée dans un écrin de velours ainsi que les petites dont la bordure dentelée aime à s’évader de cette espace restreint où elles se cachent… 

 

- L’ouie : le claquement de peau qui diffère en fonction de lieu épidermique, le suintement de la moiteur du lieu, la pénétration d’un gouffre chaud… un gémissement, un râle du tréfonds de la gorge… mais aussi le bruissement de la plante des pieds sur le parquet flottant… le craquement des articulations… le son de doigts qui se crispent…le grattement des ongles sur le cuir…

 

- L’odorat : les effluves de multitudes de senteurs chatouillant et embaumant les narines… la propreté, la fragrance du parfum, Shalimar de Guerlain… mais aussi de l’excitation… chaleur sensuelle qui  augmente une humide intimité… odeur de rousse, des saveurs olfactives piquantes… le bouquet d’une sueur acide, qui arrive même à brûler la peau si fine…  

 

- Le toucher : la douceur de cette fine peau claire… des textures diverses s’offrent, les grains de peau changent en fonction de la parcelle d’épiderme touchée, ainsi que des différents aspects de l’instant… excitation, moiteur… gonflement, durcissement… sous la fermeté d’une main, sous la pointe d’une langue, sous l’effleurement d’un objet, d’une caresse… des réactions plus ou moins vives du corps… une promenade exploratrice dans les manières de flirter, de frôler, de titiller, de malaxer, de glisser, de serrer, d’attiser, de jouer avec les sens… 

 

- Le goût : dans la sensibilité goûteuse, ce corps donne aussi bien l’acidité de ces perles de sueur de rousse que des larmes salées qui s’accrochent aux cils… une intimité miellée… même des sécrétions et émanations cyprineuses déguisées de maintes fleurs pouvant être superposées dans le sucré, le poivré, le pimenté…  

 

Mais ce parfum vit, il se transforme en fonction de plusieurs données… des paramètres qui changent tout, comme la boisson, la nourriture… à chaque fois, un renouveau, une surprise pour les boutons sensoriels de la langue… 

 

 

Le ressenti :  

 

Il est très particulier, car à chaque fois changeant… si en plus la pudeur s’en mêle… mais psychologue et expérimenté, vous savez la détourner… 

Mais ce qui est quasi immuable, c’est un certain déroulement oral et tactile (pas toujours dans le bon sens)… qui focalise le ressenti… les ressentis… 

 

- Quand une ballade de votre errance subtile, énergique, fortuite, piquante, torride,… contrôlée sur ma peau la récompense par l’envie, le désir, le plaisir… elle s’ouvre à l’offrande, l’abandon…

- Quand votre main d’homme glisse sous ma sablière pour prendre position sur la poitrine et jongle avec ses extrémités, une chaleur fait dresser et durcir mes framboises qui s’allongent… 

- Quand le piquant qui s’abat sur mon postérieur, de préférence manuel… le contact avec vos genoux, le claquement qui résonne, le rosissement de la peau… donne cette fébrilité au corps… 

- Quand vous, l’homme qui s’enfonce dans mon antre gluant, qui pénètre mes entrailles, qui me caresse de l’intérieur… m’offre des tressaillements incontrôlables… 

- Quand je bois vos paroles, qu’elles cinglent mon état, elles ne sont que compliments sur vos lèvres et dans votre pensée… 

- Quand Monsieur, votre inspiration brodée sur mon être donne le frissonnement de l’épiderme… les fins et rares poils qui se dressent avec la chair de poule… 

 

Que ma respiration haletante cherche à aspirer l’air environnant… presque à s’en étouffer… 

Que mes paupières battent des ailes…mon esprit s’envole jusqu’à toucher les étoiles, qu’il se perd dans votre réalité, dans un brouillard de sensations confuses et si douces… 

Que mon regard s’agrandit et cherche le vôtre pour vous offrir ma reconnaissance, mais percer votre sentiment, votre satisfaction… car nous sommes deux… 

Que le miroir de mon âme, j’aperçois dans vos iris brillants… reflet de corps en accord… d’esprits complices…  

 

Vous m’offrez « La liberté »…  

 

Merci… Monsieur  

Merci aussi... de me permettre de m'ouvrir... de me dépasser....

Quand vous souhaitez voir mes mains se livrer à des caresses sur mon corps, que vos regards les guident, que votre tendre sourire se fige, s'ouvre, vit dans mes gestes, dans mes soupirs qui s'emplissent de sensations heureuses et bienfaisantes. En chaque instant, un ressenti fort, mais renouvelé... une puissance qui se mélange dans nos présences si proches, à se frôler... nos âmes se chevauchent mais nos corps ne se touchent !

PS : Huuummmm… rien qu’en relisant… des vapeurs échauffent pas que mes oreilles…

 

Monsieur,  

 

J’espère vous avoir satisfait en répondant à votre question… 

Mais, soyez tolérant car même si en votre possession… 

Je ne suis qu’une p’tite novice… 

Douce semaine…

S.  

 
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Par guts
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S...oupirs de chaleur !

 

 

 

 

 L'oeil de feu hante mes douces rêveries !

 

- C Dominer

L'iris enflammé peuple mes tendres pensées !  - C Etre soumis  Le regard brûlant accompagne mes inavouées tentations !

 - C Corps

La vision suave vibre sur mes chaleureuses envies !

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